Le père Zabouvski arriva au pont-levis de la fortesses des gardes épiscopales et pontificales visiblement tourmenté. Il avait sa mitre sous le bras, découvrait ses cheveux en broussaille et sa soutane était toute sale de poussière des routes, signe que l'abbé avait couru, il en était d'ailleurs tout essouflé.
Il se présenta aux gardes qui, malgré la grave situation, gardait la tête bien droite à leur poste.
Bonjour, je suis le père abbé Zabouvski, puis-je rentrer, j'aimerais m'entretenis avec la préfet des vidames et rencontrer les nobles et saints chevaliers du Très-Haut.